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Plusieurs associations d’élus dont l'AMF, la FNMS, la MIDS et le Cerema se sont associés pour réaliser un guide sur la décentralisation du stationnement payant sur voirie. Destiné aux élus, ce mémento a vocation à revenir sur la réforme ainsi qu’à informer sur les modalités de sa mise en oeuvre par les collectivités territoriales.
Vous trouverez des représentations visuelles du signal K8 par exemple dans ce document du Cerema : Signalisation temporaire Interventions d’urgence sur routes bidirectionnelles Volume 10.
Une étude souligne l'explosion du nombre de logements menacés par l'érosion des côtes en 2050 et 2100. Le tour de la question en quatre cartes.
Menacés par la montée des eaux, les habitants du village de Miquelon, dans l’archipel de Saint-Pierre et Miquelon, se préparent déjà à déménager. Selon le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema), d’ici à 2050, le recul du trait de côte en Guadeloupe, en Martinique, en Guyane, à La Réunion et à Mayotte pourrait rendre inhabitables des centaines de logements.
Le référentiel d'occupation du sol à grande échelle (OCS GE) décrit finement la couverture et l’usage des sols ainsi que leur évolution dans le temps pour la France entière. Cette base de données est produite par l'IGN en collaboration avec le Cerema et l'INRAE à la demande du ministère de la Transition écologique et de la cohésion des territoires pour répondre à l'exigence de zéro artificialisation nette (ZAN).
Localtis : Destinés à être versés au prochain Plan national d’adaptation au changement climatique, les rapports d’étude réalisés par le Cerema ainsi que les cartes nationales de projection du recul du trait de côte à échéance 2028 et aux horizons 2050 et 2100 ont été dévoilés ce 5 avril sur le portail Géolittoral.
Ainsi, le scénario de 2028 constitue une estimation, à court terme, des bâtiments susceptibles d'être touchés, dans une bande de 5 mètres du littoral. Ce sont 1 046 locaux résidentiels et commerciaux (fourchette haute) qui seraient menacés d'ici cinq ans, pour une valeur vénale totale des biens d'environ 240 millions d'euros. « Un tiers de ces bâtiments comporte des logements et concerne directement les habitants de ces zones littorales », explique Sébastien Dupray, directeur de la Direction Risques Eaux Mer, au Cerema.
Nous savons que ces catastrophes naturelles vont malheureusement s’accentuer et, très probablement, se multiplier dans les prochaines années en raison du changement climatique. Pour donner un ordre d’idée, dans le Gard, la Cèze est montée à plus de neuf mètres : du jamais-vu depuis 1976 ! En 2020 déjà, un document du Cerema, le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement, faisait état de la dangerosité des zones concernées par les intempéries de samedi dernier et indiquait les mesures à prendre. Cela pose la question de l’ampleur des moyens alloués à la prévention des phénomènes climatiques, mais aussi, et surtout, de l’intégration d’une culture du risque dans les politiques de sécurité publique, afin que la population soit suffisamment informée sur les gestes qui sauvent. C’est un enjeu national, sachant que, d’après un sondage Ifop d’avril 2023, 42 % des Français vivant en métropole estiment manquer d’informations sur les bons comportements et les consignes à suivre.
Décembre – Le MOOC « Concevoir une réhabilitation énergétique responsable du bâti ancien », proposé par le Cerema, a pour vocation de donner les clés pour réhabiliter énergétiquement un bâtiment construit avant 1948 avec des techniques et des matériaux traditionnels : opération qui demande un véritable savoir-faire et des connaissances particulières !
Sébastien Dupray, directeur risques, eaux et mer du Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CEREMA) ; Stéphane Coudert, directeur territorial Hauts de France, du CEREMA
Le Cerema a publié une série de fiches présentant différents services de mobilité qui peuvent être déployés sur des territoires peu denses et qui bénéficient de retours d’expériences réussis.
Le Cerema poursuit le renforcement de sa présence auprès des territoires d’Outre-mer en créant, au 1er février 2024, une nouvelle agence aux Antilles, sa quatrième implantation dans les territoires ultramarins après la Guyane, Mayotte et La Réunion.
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Un X73500 un peu particulier doit prochainement circuler sur les lignes de l’étoile de Limoges. Equipé d’ordinateurs, ce train-études captera des données et testera en situation réelle des solutions dans le cadre du projet TELLi, pour Train léger innovant. Piloté par la SNCF, ce consortium réunit dix autres acteurs : Thales, Texelis, CAF, Wabtec, Railenium, Ferrocampus, Alstom, Capgemini, Cerema et Ektacom. «
D’après le CEREMA (organisme d’État qui rédige des guides de conception de la voirie) la cohabitation sereine et sûre des vélos et des voitures sur une même voie de circulation nécessite un trafic routier faible. Un axe vélo sécurisé, de type axe structurant, ne peut pas fonctionner avec un trafic routier supérieur à 1000 voitures par jour et par sens. S’il y a plus de de 1000 voitures, alors il faut faire un aménagement cyclable séparé.
En France, où l'érosion côtière dévore environ 900 kilomètres de littoral, ce phénomène pourrait concerner entre un millier de bâtiments en 2028 et plusieurs centaines de milliers d'ici à 2100, comme le révèle un rapport du Cerema (Centre d'Études et d'Expertises sur les Risques, l'Environnement, la Mobilité et l'Aménagement). En effet, la France est particulièrement exposée à une érosion causée par la progression des océans (une élévation du niveau de la mer liée au changement climatique) et provoquant un inexorable recul du trait de côte.
La France pourrait être touchée par la hausse du niveau des mers Rappelons que le niveau des océans augmente aussi parce que plus les océans se réchauffent, plus ils prennent de la place. Aujourd’hui le niveau des océans augmente de plus en plus vite, il faut s’y adapter. Le CEREMA — le Centre d'études et d'expertises sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement — vient justement de publier une série de rapports et de cartes accessibles à tous sur le recul du trait de côte en France.
Vendredi dernier, un rapport du Cerema — le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement — a rendu public l'ampleur du recul du trait de côte sur le territoire français.
500 communes à risque d’ici 2028 Ces situations vont devenir de plus en plus fréquentes à l’avenir, sous l’impact du changement climatique. Selon de nouvelles estimations publiées le 5 avril par le Centre d’études et d’expertises sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema), quelque 500 communes et 1 000 bâtiments pour une valeur de 240 millions d’euros sont considérés à risque d’ici 2028, dont un tiers concernent des logements. “Il y aura des zones qui seront inhabitables” sur le littoral, a déclaré Christophe Béchu sur TF1. Indemnisation, relogement à l’arrière de la commune : “ce sont des solutions qui sont aujourd’hui sur la table”, a ajouté le ministre de la Transition écologique.
Entre ces deux temps forts, le réchauffement climatique sera abordé sous différents formats. Par exemple, le forum des exposants proposera un panorama des innovations et des retours d’expérience. Le Cerema proposera une méthode pour profiter pleinement de la végétalisation urbaine (28 mai, 16h)
Nous avons un travail primordial à réaliser : cesser de penser que le changement climatique est exogène au secteur de l'immobilier. En effet, ce dernier est autant une cause du changement climatique qu’il n’en est une victime. Mickaël Nogal, ancien député et président fondateur de l'association Convergences, signe une nouvelle tribune.
M. Pascal Berteaud, Directeur général du Centre d’études et d’expertise sur les risques, la mobilité et l’aménagement (Cerema)
Des recommandations sont émises dans le guide du CEREMA (Ex CERTU) concernant les caractéristiques et l’aménagement de ces équipements de sécurité routière. CEREMA signifie Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement.
Un outil dédié mis en place par l’Etat Pour la définir ces zones, le Ministère de la Transition Énergétique a mis à disposition une plateforme cartographique nationale des EnR, élaborée par le Cerema et l’IGN, permettant de visualiser leur potentiel : Le Portail cartographique des EnR La carte des EnR Libres aux citoyens et à la commune de suivre ou non les indications contenues dans la plateforme, en fonction de la connaissance de terrain de chacun.
Il s’agit de la 4ème implantation de l’établissement public dans un territoire ultramarin
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