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La Commission européenne est catégorique : pour lutter contre le dérèglement climatique, la technique de capture et de stockage du dioxyde de carbone (CO₂) sera indispensable. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Où en est le déploiement de cette technologie ? Et quels freins l’entravent ? Décryptage.
La logistique urbaine permet d’assurer dans les meilleures conditions l’approvisionnement et la circulation des marchandises nécessaires aux habitants et à la vie économique locale. Sur le territoire de Lorient Agglomération, elle représente 18 300 mouvements de marchandises par jour dont la moitié sont réalisés sur les communes de Lorient, Lanester et Caudan. Pour que les règles de logistique urbaine, et plus précisément la gestion du dernier kilomètre, tendent vers plus de sobriété, la collectivité a intégré le programme InTerLUD+ dans le but de construire une charte de logistique urbaine durable.
Le projet qui vise le raccordement d’environ 15 000 logements à la géothermie d’ici à 2028 permettra de proposer aux administrés des trois villes une énergie de chauffage plus verte, plus locale et moins coûteuse.
Le projet de loi de simplification présenté récemment en conseil des ministres, devrait servir à corriger l’anomalie législative qui pénalise lourdement
Afin de garantir la sécurité des usagers, le conseil départemental avait donc pris en urgence la décision d’interdire la circulation le temps de faire évaluer par le Cerema (centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) les risques éventuels au regard des fortes précipitations de ces derniers jours et de procéder aux travaux de mise en sécurité.
Mais ces acquéreurs ne seraient-ils pas éblouis par la vue mer, les grandes plages ou encore l’ensoleillement que promettent ces communes ? C’est ce que laissent penser plusieurs rapports du Cerema *, un organisme du ministère de la Transition écologique. Les conclusions de ses experts sont plutôt sombres.
Plus de 10 000 friches sont recensées par l’inventaire national Cartofriches développé par le Cerema. Malgré le potentiel qu’elles représentent, la localisation des sites ne correspond pourtant pas nécessairement aux critères recherchés par les investisseurs. Les exploiter requiert ainsi des expertises et une ingénierie locale afin de vérifier leurs caractéristiques, leur coût de remise en état et leur capacité d’accueil.
Organisé par une instance indépendante, la CNDP (Commission nationale du débat public), le débat sur les éoliennes flottantes en Méditerranée, qui avait débuté le 20 novembre 2023, est clos depuis le 26 avril. Tout citoyen a pu y participer. Les professionnels de la mer également qui ont remis "un cahier d'acteur", leurs propositions face à ce projet modifiera leurs pratiques. Entretien avec Olivier Le Nezet, président du Comité national des pêches.
Le train est le mode de transport le moins polluant, et avec 49 000 km de voies ferrées sur le territoire français, ce n’est pas le choix qui manque. Mais qui dit moins polluant ne dit pas parfaitement vert, et les trajets en train ont leur propre empreinte carbone. Quel est le bilan carbone du train ? Comment calculer les émissions de CO2 d’un trajet en train ? Big média fait le tour de la question.
Le Bureau européen de l'environnement, ombrelle de 180 ONG du continent, lance ce lundi un appel à conserver l'élan du Pacte vert dans le prochain cycle législatif. Selon lui, des contraintes écologiques sur les entreprises augmentent leur compétitivité sur le long terme.
Un léger fléchissement mais toujours pas de baisse franche. Selon un bilan publié par le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema), la consommation foncière en France continue de progresser. En 2022, plus de 20 000 hectares d’espaces naturels, agricoles ou forestiers ont été convertis à des fins de construction. Bien que légèrement inférieure à l’année précédente, cette consommation reste du même ordre de grandeur que les années précédentes, ce qui soulève des inquiétudes.
La mairie de Toulouse intensifie ses actions pour aider, dès cet été 2024, les habitants à faire face aux canicules et adapter la ville au dérèglement climatique, dans le cadre de son plan fraîcheur, lancé l'an passé. Le maire, Jean-Luc Moudenc, reconduit ce plan composé de trente mesures dévoilées le 25 avril dernier.
Pour rappel, ce pont construit en 1931, long de 80 m et large de 2,50 m, avait été fermé en urgence. En 2022, une étude poussée du Centre d’études et d’expertise sur les risques, la mobilité et l’aménagement (Cerema), avait été demandée par le Département du Tarn, sur le pont suspendu au-dessus de l’Agoût, qui relie la commune de Viterbe à celle de Fiac par la RD149, à quelques kilomètres de Lavaur et Graulhet.
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Le Haut conseil pour le climat (HCC) est un organisme indépendant chargé d’évaluer l’action publique en matière de climat, et sa cohérence avec les engagements européens et internationaux de la France, en particulier l’accord de Paris, l’atteinte de la neutralité carbone en 2050 et le respect des budgets carbone de la France.
Suite de notre Coup d’œil hebdo de la semaine dernière sur la façon dont les Français appréhendent leur mobilité. Leur mobilité actuelle, mais également future : qu’imaginent-ils et surtout que désirent-ils à horizon 2050 ? Un exercice de prospective qui part des Français eux-mêmes, réalisé par L’ObSoCo avec La Fabrique de la Cité. Une série en 4 épisodes pour notre Coup d’œil hebdo. Cette semaine, épisode 2 : Une réalité de la mobilité déjà en tension(s).
Le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires et son ministre délégué chargé du Logement ont présenté au Conseil des ministres du 3 mai 2024 le projet de loi relatif au développement de l’offre de logements abordables. Le texte sera examiné par le Sénat au mois de juin, puis à l’Assemblée nationale cet automne. Selon le gouvernement, ce projet de loi « permettra de produire plus de logements abordables pour les Français, que ce soit en location ou en accession, en donnant aux élus et aux bailleurs de nouveaux outils ».
Risque de submersion de milliers de bâtiments et d'infrastructures Le Cerema (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) tire la sonnette d’alarme : l’érosion marine menace un millier de bâtiments sur les quatre prochaines années, dont 300 habitations et 190 commerces. Le montant total de ces biens est estimé à 235 millions d’euros. Il a par ailleurs élaboré des hypothèses pour trois échéances : 2028, 2050 et 2100.
Le stationnement ? « Cette notion est secondaire car la priorité est le cheminement doux, poursuit Laurent Ollivier. C’est aller vers une autre philosophie, c’est réduire l’usage des véhicules motorisés pour le bien-être de la planète. Les aménagements se feront en application du Code de la route, en appui des études du Cerema (1) et avec beaucoup de pédagogie. »
Malgré la loi Climat et résilience de 2021 visant à réduire l’étalement urbain, celui-ci a continué à un rythme élevé. Au pays de la voiture, du rond-point et de la ZAC, la route est longue jusqu’au zéro artificialisation.
Le captage de CO2 dans l'air et son stockage sous terre sont parfois présentés comme une solution importante au réchauffement climatique, mais le potentiel de ces techniques embryonnaires ne doit pas être utilisé comme substitut aux réductions des rejets de CO2, plaident de nombreux experts.
En mars 2024, des associations de commerçants ont saisi le Conseil d’État pour s’insurger contre la future piétonnisation de la Presqu’Île de Lyon.
« Les ralentisseurs sont donc interdits hors agglomérations, sur les routes où le trafic dépasse 3 000 véhicules par jour en moyenne ou s'il y a des voies de transports en commun. Le CEREMA et les élus avaient inventé cette distinction dans le but unique d'implanter toujours plus de ralentisseurs. Selon nos relevés, en réalité 99 % de ces outils sont non conformes » avance Thierry Modolo, le porte-parole de l'association Pour une mobilité saine et durable (PUMSD).
Si on comptait environ six kilomètres d’aménagements cyclables à Paris, en 1995, c'est sur plus de 1400 kilomètres que les cyclistes peuvent désormais circuler.
La consommation d'espaces naturels, agricoles et forestiers est en légère baisse en 2022, une tendance à prendre avec prudence, selon un rapport du Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema).
eulement un tiers des plus grandes aires marines protégées (AMP) est efficace pour protéger la biodiversité, ce qui représente 2,6 % de la surface totale des océans. C'est le constat dressé par une équipe internationale de chercheurs, dont un chercheur du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), dans une étude (1) publiée le 9 mai 2024 dans la revue scientifique Conservation Letters. Une proportion obtenue en analysant les cent plus grandes AMP du monde, soit 90 % des zones marines protégées à l'échelle mondiale. Les scientifiques ont également mis en évidence qu'un autre tiers de cette superficie autorise des activités industrielles « hautement destructrices », telle que la pêche à grande échelle. Le reste des AMP sont soit dépourvues de réglementation et de gestion, soit faiblement protégées. Des chiffres alarmants, alors qu'en décembre 2022 lors de la COP 15, la communauté internationale s'est fixée comme but de protéger 30 % des terres et des mers d'ici 2030 (objectif « 30x30 »).
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