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L’État français au chevet de l’économie nationale

Réunion de crise, lundi, à Bercy, sur les conséquences économiques de l’épidémie de Covid-19, entre Bruno Le Maire (
à gauche), Gérald Darmanin et Muriel Pénicaud (à droite). HAMILTON/REA/HAMILTON/REA

Plan de solidarité, fonds de garanties bancaires, report de charges et impôts… Le gouvernement multiplie les mesures financières pour venir en aide aux entreprises et salariés en difficulté.

En plus d’une guerre sanitaire, la France fait face à une «guerre économique et financière», selon le ministre de l’Économie et des Finances. «Elle sera longue et violente et devra mobiliser toutes nos forces», insiste-t-il. En tout état de cause, la récession n’est plus évitable. Bruno Le Maire table même officiellement sur un recul du PIB de 1% pour cette année. Et encore, cette estimation est «provisoire», a-t-il prévenu, estimant qu’elle dépendra «de l’évolution de l’épidémie dans les semaines à venir et de notre capacité à surmonter cette crise».

C’est en tout cas ce chiffre qui est inscrit dans le projet de loi finances rectificative présenté par Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, ce mercredi matin, en Conseil des ministres. Un texte qui va aussi mettre en musique le «dispositif exceptionnel» à destination des entreprises et des salariés, confirmé lundi soir par Emmanuel Macron. Après un passage à l’Assemblée jeudi puis au Sénat vendredi, l’idée est qu’il soit adopté en fin de semaine

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1 commentaire
  • toutoune

    le

    Attendons l impot exceptionnel....silences les grillons...manu pense

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