Publicité
Réservé aux abonnés

Après neuf ans dans le rouge, l’Agirc-Arrco redevient bénéficiaire

Le régime de retraite complémentaire des salariés du privé est revenu à l’équilibre. GARO/Phanie

Géré par les partenaires sociaux, le régime devrait dégager en 2019 un résultat de 1,2 milliard d’euros.

En pleine réforme des retraites, alors que le gouvernement cherche toujours les moyens d’équilibrer le système, les partenaires sociaux peuvent mettre en avant leur bonne gestion de l’Agirc-Arrco, le régime de retraite complémentaire des salariés du privé. Et ainsi justifier le rôle central qu’ils veulent obtenir dans la gouvernance du futur système universel…

En effet, après neuf ans de déficit, dû à la crise de 2008 qui avait vu la main-d’œuvre se contracter fortement, l’Agirc-Arrco est revenu à l’équilibre. Selon les comptes provisoires présentés jeudi au Conseil d’administration, le régime devrait dégager en 2019 un résultat technique positif de 500 millions d’euros (contre un déficit de 2 milliards l’année précédente). Si l’on ajoute à cela des résultats financiers qui s’élèvent à 700 millions d’euros, le résultat global du régime est un excédent de 1,2 milliard d’euros (contre un déficit de 1,4 milliard en 2018).

«Grâce à un pilotage responsable et exemplaire, les partenaires sociaux…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 76% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Après neuf ans dans le rouge, l’Agirc-Arrco redevient bénéficiaire

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
7 commentaires
  • bzh7544

    le

    Parti avec 183 trimestres et. être amputé 25% Parce que je n avais que 61 ans et non pas 65 ?? Curieux ...mais c était ,soi disant pour les cadres supérieurs !!???
    Les syndicats y appliquent un peu trop sans l avouer ,une lutte des classes induite !!!!

  • Nonos 38

    le

    Là, la retraite est calculée par points.

  • oscar

    le

    c'est bon, on va pouvoir toucher la retraite complementaire à taux plein dès 62 ans, sans decote.