"Cette autorisation est essentielle puisqu’elle conditionne l’accès effectif aux données nécessaires à la conduite de ces projets", a rappelé le Hub en préambule.
"A partir de données de santé non nominatives, ces projets visent à améliorer la qualité des soins dans différentes disciplines", a-t-il ajouté.
Le premier projet, DeepSarc, a pour ambition "d'identifier des traitements les plus adaptés à chaque profil de patient" atteint d'un sarcome, "favorisant ainsi ses chances de survie". Il propose une "approche complémentaire" aux recommandations de traitement "en analysant les données d’une cohorte associées aux données de consommation de soins de l’assurance maladie".
Il est porté par le centre de lutte contre le cancer (CLCC) Léon-Bérard de Lyon, en partenariat avec deux autres CLCC: l'Institut Bergonié (Bordeaux) et Gustave-Roussy (Villejuif, Val-de-Marne).
Le deuxième projet, Hugo Share, a pour objectif de "limiter les interactions médicamenteuses et les ruptures thérapeutiques des patients à risque hospitalisés", notamment "les patients âgés atteints de maladies chroniques déjà traités en ville".
Pour ce faire, le projet prévoit de "recouper les bases de données de 6 hôp...