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La réforme des APL, qui doit permettre leur calcul en temps réel par rapport aux revenus, entrera en vigueur le 1er janvier 2021, après avoir été reportée à plusieurs reprises, a annoncé, lundi, la ministre du Logement Emmanuelle Wargon dans Le Parisien. « La réforme entrera en vigueur le 1er janvier. On calculera les aides sur la base des douze derniers mois, c'est-à-dire de décembre 2019 à novembre 2020 », a précisé la ministre.
À l'heure actuelle, les APL (aides personnalisées au logement) sont calculées sur les revenus remontant à deux ans. « Le nouveau mode de calcul ajuste les aides en fonction des revenus en temps réel. Si ceux-ci augmentent, les aides baissent. Si les revenus diminuent, les allocations croissent », a-t-elle rappelé.
Concrètement, « un célibataire qui gagnait 1 000 euros mensuels en 2019, puis 1 100 euros en 2020, verra ses APL baisser progressivement et sur un an de 77 à 44 euros mensuels. À l'inverse, un salarié qui connaît une période de chômage partiel d'avril à août 2020 verra ses APL augmenter d'environ 30 euros par mois », a-t-elle illustré. Cette réforme devait initialement entrer en vigueur début 2019, le gouvernement comptant dessus pour économiser environ un milliard d'euros. Mais elle a été décalée à plusieurs reprises à cause des difficultés à la mettre en œuvre.
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« Un nombre plus élevé de bénéficiaires voient leur APL augmenter »
La dernière date fixée par le gouvernement était le 1er avril, mais elle a été encore reportée en raison de la crise du coronavirus. Le gouvernement n'avait alors pas fixé de nouvelle date. Le gouvernement s'attend à « ce qu'un nombre plus élevé de bénéficiaires voient leur APL augmenter », a encore dit Emmanuele Wargon, « ce qui réduira fortement les économies liées à la réforme ».
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Quant aux étudiants, « nous allons passer à un forfait », a ajouté la ministre du Logement, ce qui sera « avantageux pour ceux qui travaillent à mi-temps, par exemple ». Cette réforme est, par ailleurs, distincte de la baisse de 5 euros par mois des APL, décidée au début du quinquennat d'Emmanuel Macron, à l'origine d'une polémique relayée par l'opposition et des associations.
Réforme juste et intelligente !
Un retour au bon sens dans la prise en compte des droits s'imposait.
Vos propos peuvent bien emprunter tous les raccourcis de la terre pour nous faire croire que Macron est généreux avec les chômeurs, mais ils ne pourront jamais convaincre les français qu'ils sont les mieux lotis.
Les français sont ceux qui sur la planète paient le plus d'impôts, charges et taxes, et la redistribution qui en est faîte est loin de correspondre à ce qu'ils sont en droit d'attendre de l'état.
Que Macron s'explique d'abord sur les centaines de milliards qu'il donne sans contrepartie au patronat français.
Qu'il s'explique sur sa politique de dépenses publiques en constante augmentation, et qu'il s'explique sur le train de vie de l'état.
Ce n'est pas le budget social de la France qui est cause de la dette, mais la politique liée au maintien d'un nombre incroyable de fonctionnaires, et d'aides aux pays étrangers, ainsi que la politique d'immigration très coûteuse pour la nation.
Macron comme pour les retraités, comme pour les salariés, comme pour les chômeurs, comme pour les étudiants, conduit une politique de régression sociale.
Macron est un ultra-libéral, partisan de l'ubérisation de l'économie, farouche défenseur de la mondialisation, qui malgré qu'il s'en défende oriente toutes ses réformes en faveur du patronat, allant jusqu'à faire payer les charges patronales de santé et de chômage, aux contribuables.
Le cosntat est donc que les français qui sont mal payés par un patronat réactionnaire pour leur travail, sont en droit d'exiger pour leurs retraites, leur santé et le chômage, des prestations à la hauteur de ce qu'ils paient, ce qui avec Macron est loin d'être une réalité.